un peu hors sujet....

[Duderino27]

dites moi si c'est assez interressant pour la continuer...
:lol:

"Chap.1 : tragédie londonienne

3:30 lundi 23 mars 2008 – Londres

Un flash d’une extraordinaire intensité, puis un grondement gigantesque déchira le centre historique de la capitale anglaise…. En quelques secondes, une onde de choc terrible secoua le centre ville sur un rayon de plusieurs kilomètres, libérant une énergie destructrice gigantesque, rasant les constructions humaines les plus solides comme des fetus de paille, réduisant en cendres la vie de milliers de londoniens pour la plupart encore dans leur sommeil.

Une minute plus tard, tout ce qui n’avait pas été détruit par le souffle de l’explosion fût sujet à de terribles incendies rappelant les jours les plus sombres du blitz allemand. En quelques minutes, les téléscripteurs se déchaînèrent partout dans le monde, quelques soit l’heure, les télés et radios crépitaient d’une même voix : le monde était sous le choc, paralysé par l’effroyable nouvelle, une tragédie d’une ampleur innimaginable venait d’avoir lieu à londres, à 3 :30 :25 GMT, une explosion atomique de puissance encore inconnue avait ravagé la ville. Le bilan était catastrophique, le nombres des victimes étaient invraisemblable pour le commun des mortels, on parlait déjà de centaines de milliers de morts.

À 3:45, un épais nuage noir recouvrait la ville tel un linceul mortuaire, parsemées ici et là, de touches rougeatres d’incendies. Partout, des centaines de sirennes retentissaient dans un concert chaotique. Sur toutes les télés du mondes, les mêmes images terribles, les mêmes scènes de panique, les mêmes visages choqués par la démesure de l’événement, l’incrédulité manifeste dans les yeux des survivants.

L’inimaginable avait eu lieu, un attentat à l’arme atomique. Malgrés toutes les mesures de sécurité draconniennes qui n’avaient cessé de s’accroître depuis 2001, malgrés les restrictions toujours plus déclamées sur les libertés fondamentales des citoyens de la couronne pour justifier ce besoin sécuritaire, les moyens colossaux des services de renseignements dignes du big brother d’Orwel…. Rien n’avaient rien pu empécher l’événement du 23 mars 2008, rien….

Devant l’impuissance générale, le bon sens dicta les premières mesures : des quatres coins de la planète affluèrent des avions remplies de nouritures, d’équipes médicales et de groupes de sauvetages spécialisés. Dans le même temps, la presse toujours avide de tels événements satura durant des jours les populations avec les mêmes images, les mêmes interviews et autres explications d’experts. Pour le gouvernement anglais, l’heure était au plus urgent, secourir les victimes et gérer le chaos ambiant, la colère et les questionenments viendrait plus tard. Une tache loin d’être facile quand les 2/3 de ce même gouvernement avait été décimé dans cet attentat.



Chap.2 : Réveil douloureux

4:04 Base aérienne de la RAF de Warton

Roger Bretagnon dormait encore comme un loir, quand tout d’un coup les sirènes de la base avait retenti de concert, la base était mise en alerte prioritaire après avoir appris les nouvelles londoniennes, deux chasseurs d’alerte avancée Typhoon venaient de décoller, dernier étage de post combustion allumée dans un fracas assourdissant qui finirent de réveiller le pilote français. Il se leva précipitament en pensant qu’à cette heure matinale, toute cette agitation n’était pas normale. Dans le couloir, ç’était déjà l’effervescence, dans le vacarme, il dicerna des gars crier « Bloody Bastards, They Nuked it », Oh my god, they have done it ». Son cerveau se mit aussitôt en mode operationnel et il se précipita au mess.

On aurait pu entendre voler une mouche ce matin là, un paradoxe dans ce haut lieu de debriefing bruyant et haut en couleur. Aujourd’hui, du fait de leur séjour, les pilotes français resentaient les mêmes émotions que leur homologues britanniques, dont quelques un avaient flanché suite à la disparition de proches, voire de très proche dans le cas du meilleur ami de Roger, Peter Clayton qui venait de perdre sa femme et ses deux enfants dans le drame. Il n’en croyais pas ses yeux, assis devant le petit écran du mess, il était comme tous les autres devant l’écran traumatisé par l’horreur de l’événement. Comment pouvait-on faire une chose pareille ? comment pouvais–t-on justifier cet acte abominable ? Il était horrifié par l’ampleur des pertes humaines, on parlait de plus de 300 000 morts, bordel, aucun homme de sa génération n’avait connu ce genre d’hécatombe en si peu de temps depuis la fin de la deuxième guerre mondiale. Il avait beau être pilote de chasse, préparé aux conséquences d’une guerre, cet événement dépassait tout ce à quoi il avait été conditionné.

Depuis 2 semaines, l’accueil de l’escadron de Rafales français stationnés sur la base de Warton avait été magnifique, ces homologues anglais, pilotes de Typhoon avaient reçus les « froggies» avec tous les égards dans le cadre de l’opération interarmes européenne Deadalus : un exercice de protection de l’espace européen contre toute menace aérienne de type terroriste. Une franche camaraderie s’était installé entre les pilotes des 2 nations ; tous étaient la crème de leur aviation, pilotant les avions les plus avancés de leur pays respectifs et mise à part l’instinct de competition et le patriotisme du à la longue histoire entre les deux pays, tous étaient des pros qui savaient faire la difference entre l’adrenaline virile du combat et le retour sur terre autour d’une bonne bière au bar de l’escadrille.

Toutes les opérations du jours avaient été suspendue, à part deux équipages en alerte,les pilotes étaient consignés dans leur quartiers, ceux qui avaient de la famille à Londres pouvaient aller tenter de retrouver leur proches ou plus généralement de porter secours aux victimes. Clayton demanda à Roger de venir avec lui, il n’était pas sur de pouvoir tenir le coup une fois la-bas. Le pilote français ne si fit pas prier et accompagna son ami.



Chap.3 Secours dans la tourmante

6 :34 À 60 kilomètres de londres

les gens pouvaient voir un grand panache de fumée noire en forme de champignon monstrueux, plus on approchait des faubourgs plus, la panique et le chaos étaient palpables ; des milliers de gens fuyaient la capitale, les axes autoroutiers étaient surchargés, la plupart des conducteurs, hébétés cherchaient juste à sortir de l’enfer et mettre le plus de kilomètres entre eux et la capitale avant que les retombées radio actives ne fassent leur apparitions. A 20 kilometres du point Zero, situé dans le quartier de Soho, le décor était apocalyptique, partout des immeubles rasées ou squeletiques, de la fumée suffocante et des gens réduits à l’état de fantômes, recouvert des pieds à la tête de poussières, marchant sans but, d’autres tellement choqués qu’ils ne pouvaient voir leur propre corps démembrés, ils étaient assis regardant droit devant eux en attendant la mort.

Pour les secouristes, la première vision et l’odeur était insoutenable, certains ne pouvaient rien faire que de regarder, paralysés, les corps démembrés, horriblement mutilés et calcinés qui jonchaient le sol par centaines, distillant une odeur pestilentielle donnant la nausée aux plus valeureux d’entre eux. Il fallait pourtant faire quelque chose, et les dispositifs testés depuis des années en cas de catastrophe dues à des actes terroristes se mettaient en place lentement. Des hôpitaux de fortunes furent placés aux abords de la zone de 10 kilomètres, la limite de la zone de danger radioactifs maximales, suggérant aux analystes nucléaires une puissance possible de la bombe 10 fois supérieure à celles d’Hiroshima et de Nagasaki. Des militaires en tenues NBC furent déployés pour empécher quiconque de pénétrer le périmètre à part les équipes de secours équipés NBC. Bien que ces taches aient été plusieurs fois répétés dans les années antérieures, rien ne valait l’expérience réelle et ces dispositifs furent vite complètement débordés par l’afflut de survivants et de familles recherchant leur proches. Le Chaos s’installait peu à peu, comment gérer une crise d’une telle ampleur ?

George McFee tentait de mettre de l’ordre dans la pagaille ambiante, il était le nouveau premier ministre d’interim en remplacement de Ben Maxwell, le defunt premier ministre mort dans l’explosion, et la tache qui lui incombait semblait insurmontable. Les dégats était énormes, le pays en plein choc post-traumatique, les victimes se comptaient en centaines de milliers, le monde attendait des réponses et la première tache qu’il se fixait personellement était juste de ne pas flancher.
Une heure après la tragédie, il organisa un conseil de crise pour faire le bilan de la situation, le résultat n’était pas glorieux, les services de secours étaient débordés, la panique avait envahi le pays poussant les gens à se précipiter frénétiquement vers les supermarchés pour faire des provisions, des troubles éclataient un peu partout…. Mais là n’était pas le pire : le centre de Londres n’était plus, le paysage familier de la tamise était désormais une vision du passé, Une heure après l’attentat, le centre ville de la vieille capitale n’avait rien à envier aux villes d’Hiroshima ou de Dresde de 1945. Un énorme cratère, pustule de près de 500 mètres d’ou s’échappai encore une fumée noire marquait à tout jamais ce lieu des nuits branchées qui fut Soho."

je poursuis ou pas?
^_^

[Ric]

oui.

[Scotty McTyler]

La vache, c'est du Jack Bauer à la puissance 1000 que tu nous prépare...

[LUSO 83]

Pulvérisé aussi le famille Royale,elle aussi avec la population??

C'est pour les potins!!! :D