Article de microsim

Salle dédiée à la version BMS de Falcon 4

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vieuxphoenix
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Article de microsim

#1

Message par vieuxphoenix »

Voivi l'article parut dans Microsimulateur le 06/12/2019

Passez à Falcon BMS !

Micro Simulateur 6 Dec 2019 par Emmanuel Blanchard

Les textures HD (option à régler en configuration) sont très réussies.

Il n’y a pas que DCS World dans le monde des simulations militaires contemporaines ! Même s’il date un peu par certains aspects, le vénérable Falcon BMS est toujours d’actualité. À l’attention des néophytes (ou des vétérans qui l’auraient délaissé ces derniers temps), nous vous proposons une visite guidée de ce logiciel qui mérite bien plus qu’une simple curiosité !

La simulation de vol est parfois un univers fait de paradoxes. Ainsi la publication récente d’une extension consacrée au F-16C Viper pour DCS World (voir le test dans notre précédent numéro) n’a pas seulement remis le Fighting Falcon sur le devant de la scène. Elle a également permis de ressortir des cartons la fiche du logiciel Falcon BMS. Nous reconnaissons humblement que nous l’avions un peu oublié ces dernières années, face à la déferlante DCS. Et pourtant, Falcon BMS ne manque pas d’attraits. Nous l’avions évoqué longuement en août 2016 (MS 271), mais il a logiquement évolué depuis, notamment avec la publication de la version 4.34 stable en avril dernier. La comparaison entre ce que propose Falcon BMS et le F-16C DCS n’est pas forcément pertinente, car les deux procèdent de philosophies différentes. Néanmoins, les pilotes virtuels amateurs de belles mécaniques et de réalisme poussé qui seraient passés à côté de BMS méritent amplement de s’y intéresser. S’il ne présente pas de prime abord la même convivialité que le simulateur d’Eagle Dynamics, Falcon BMS reste une référence dans le domaine des simulations de pilotage de combat, avec non seulement une grande précision des modèles de vol et des systèmes embarqués mais aussi de multiples théâtres d’opérations, plusieurs appareils à prendre en mains et des campagnes ou missions innombrables.

Un petit avertissement doit être formulé à ce stade, avant d’aller plus loin. Ce qui suit s’adresse aux curieux qui n’auraient qu’une connaissance limitée de BMS sans l’avoir pratiqué (ou en ayant pratiqué ses prédécesseurs Falcon 4/F4 Allied Force). Qu’on soit adepte de la saga IL-2 ou DCS World (voire là encore des prédécesseurs LoMac et consorts) est un plus appréciable ; en revanche, les grands débutants dans le domaine de la simulation de vol militaire contemporaine risquent d’être un peu perdus dans l’avalanche de données à assimiler (pilotage, armements, réglages), et nous conseillons à ces derniers de faire leurs premières armes virtuelles sur d’autres supports. De plus, quelques notions d’anglais de base sont nécessaires pour débuter, le logiciel n’étant pas traduit (mais de nombreux tutoriels sur Internet, en vidéo ou ce petit guide devraient vous aider un peu !). Vous êtes prévenus, il ne reste qu’à brancher votre HOTAS…

Installer BMS

Falcon 4 BMS n’est pas un logiciel à proprement parler, il s’agit plutôt d’un « mod » (pour modification) pour le vénérable Falcon 4, paru il y a plus de vingt ans ! Mais la richesse de cette extension en fait quasiment un produit à part entière. Reste que pour en profiter, il faut d’abord posséder Falcon 4. Les boîtes et CD de ce simulateur ont depuis longtemps disparu des rayonnages, mais on peut se le procurer de manière totalement légale et transparente sur divers sites de téléchargement. Ainsi Falcon 4 est-il proposé sur la plateforme Steam pour 7 euros ; tel quel il est dépassé et ne présente que peu d’intérêt en 2019, mais son achat et son installation sont requis pour ensuite profiter de BMS. Et finalement, ce n’est pas cher payer, moins que le prix d’un paquet de cigarettes ou une boisson en terrasse à Paris (attention, Micro Sim n’incite nullement au tabagisme ou à la consommation de boissons alcoolisées !). L’ancien Falcon étant installé, on passe à la phase suivante.

Le mod BMS a été développé au fil du temps par un noyau de passionnés réunis sous le nom collectif de Benchmark Sims. L’équipe dispose de son site Internet dédié qui est le portail consacré à Falcon 4 BMS, à l’adresse www.benchmarksims.org. Une inscription comme membre du forum est requise, elle est gratuite et ne demande que quelques secondes pour remplir le formulaire. C’est ensuite qu’on accède au forum, dans sa rubrique Release & Update pour dénicher le sujet traitant de la dernière version en ligne, dans notre cas la 4.34. Le lien de téléchargement y figure, soit en mode Torrent (il faut un logiciel de téléchargement peer-to-peer pour en profiter, plusieurs outils gratuits de ce type sont disponibles, ne serait-ce qu’au sein du Windows Store) soit en mode récupération d’archive. Le fichier pèse plus de 2 Go et une fois décompressé livre un auto-installeur. Celui-ci s’occupe de tout : identification des dossiers du Falcon 4 de base (qui n’est pas altéré et reste opérationnel), création du répertoire d’installation de BMS et du raccourci sur le bureau. Ne faites pas comme nous, ne supprimez pas l’installeur (ou l’archive) après l’installation, car il contient aussi le

module de suppression du programme ; sans lui, il faut s’astreindre à une longue opération de nettoyage manuel de la base de registre de Windows, manipulation toujours délicate… Moralité, gardez au moins l’archive ZIP d’origine dans un coin de votre disque (ou sur une clef de sauvegarde).

Le nouveau dossier (du type C:\Falcon BMS 4.34) contient les utilitaires de lancement et de configuration, mais également parmi d’autres répertoires un dossier DOC qui abrite à la fois le manuel officiel, le guide des armements, les procédures en usage sur le F-16C, un guide des communications radio, et toute une série de sous-dossiers contenant les cartes des aéroports et espaces aériens du théâtre d’opérations par défaut - à savoir la péninsule coréenne. S’il existe d’autres théâtres additionnels (voir encadré), on se contente pour le moment du simulateur par défaut.

Au lancement, on ouvre la fenêtre de préparation du logiciel ( fig. 1). Outre le lancement du programme, ce panneau permet de configurer une partie des options du simulateur, de déporter certains éléments vers différents affichages (utile pour un cockpit domestique !), personnaliser les équipements des F-16 proposés au pilotage ( fig. 2) ou encore accéder directement au répertoire de la documentation. Si vous disposez d’une tablette ou d’un ordinateur portable, nous vous conseillons pour vos premiers vols d’avoir une copie du répertoire de documentation sur ce support, afin de pouvoir vous y référer sans sortir du simulateur.

Premier contact

L’avantage d’un logiciel de 20 ans d’âge (même si le mod est plus récent) est qu’il se charge rapidement et n’a pas besoin d’une grosse configuration matérielle, contrairement à DCS World. En quelques secondes on se trouve devant l’interface d’accueil, plutôt austère ( fig. 3). La partie supérieure affiche les différentes rubriques. Mais avant d’aller plus loin et de s’essayer au pilotage, c’est la rubrique Setup qui nous intéresse, afin de parfaire les réglages du logiciel. Ses onglets sont explicites : Simulation pour le réalisme du modèle de vol et le niveau des adversaires, Sound pour la partie audio, Graphic pour les réglages visuels (réglages de la simulation, pas de l’interface qui semble étirée sur un affichage en 16/9 !). Mais c’est surtout l’onglet Controllers qui mérite une visite ( fig. 4). C’est ici qu’on paramètre les périphériques de jeu et de pilotage. Et comme tout simulateur avancé, Falcon BMS s’accommode mal d’un simple joystick 3 axes (et pire pour un pilotage à la souris ou au clavier). Un dispositif HOTAS nous semble indispensable, avec manette des gaz (et pas simplement un curseur), plusieurs contrôles directionnels (de type « chapeau chinois ») et de nombreux boutons. L’affectation des axes s’effectue en choisissant d’abord le périphérique puis en passant à la rubrique Advanced, notez que pour les gaz on peut définir le point d’activation de la postcombustion (bouton SET AB). Ensuite dans la longue liste des commandes, on repère les affectations et fonctions correspondantes. Et pour le F-16 par défaut, rien n’est simple, puisque cette liste s’inspire des commandes réelles de l’avion. N’attendez pas de fonction tirer, désigner la cible, lancer les leurres : tout se fait d’après les équipements HOTAS du vrai F-16, et il faut bien repérer dans la documentation PDF fournie les correspondances aux contrôleurs de gestion de cible (TMS), de contre-mesures

(CMS), de pilotage du radar (DMS) et ainsi de suite. C’est là que le grand débutant se sentira à juste titre perdu… D’où notre avertissement en introduction ! Il faudra probablement plusieurs allers-retours entre ce panneau d’affectation et les sessions de pilotage pour s’assurer que les bonnes commandes correspondent aux bons boutons ou axes. Et c’est assez frustrant car une fois en vol il n’y a pas moyen de modifier la configuration.

Modes de jeu

Après la configuration, le passage en revue des options des menus s’impose. Se suivent en haut de l’écran :

● Instant action (action instantanée) : on y choisit une mission air-air ou air-sol, le niveau de compétence de l’adversaire IA ( fig. 5), et après validation on est catapulté dans l’action. L’avion dispose de munitions illimitées (mais seulement pour ce qui est déjà emporté) et le pilote virtuel se lance au combat contre des vagues d’ennemis jusqu’à ce qu’il soit détruit ou quitte de lui

même la mission. Un score sanctionne chaque session. Ce mode est pratique pour découvrir les armes et voler rapidement.

● Dogfight (combat rapproché) met en scène le joueur (seul ou avec ailier) contre un adversaire IA (lui aussi seul ou accompagné). C’est le mode idéal pour parfaire ses enchaînements de manoeuvres de combat aérien.

● Tactical Engagment : ce sont des missions simples, depuis l’entraînement de base jusqu’à des confrontations musclées. Plusieurs de ces missions permettent de s’essayer à des armements spécifiques ou des phases de vol particulières (décollage, atterrissage…). En outre, ce mode donne aussi accès à l’éditeur de missions (TE Builder) qui se révèle un peu compliqué à utiliser mais permet de concocter toutes sortes de situations, y compris celles qui ne mettent pas en scène le F-16C ( fig. 6).

● Campaign (campagne) est le coeur de BMS, directement hérité ● de Falcon 4, et mérite qu’on s’y attarde plus longuement dans un paragraphe dédié (plus bas).

● Tactical Reference est une encyclopédie de tous les matériels militaires présents dans BMS.

● COMMS donne accès aux réglages de réseau pour jouer en multi, via Internet ou en réseau local.

● Logbook est le journal des faits d’armes du pilote virtuel.

● ACMI donne accès à l’enregistrement des vols, et facilite l’analyse d’un affrontement sauvegardé.

● Theatre donne évidemment le choix des théâtres d’opérations installés. Petit conseil : si vous changez de théâtre, revenez à l’écran d’accueil puis quittez et relancez BMS. Sans ces précautions le logiciel est susceptible de planter ou de ne pas prendre en compte le changement. Ce n’est guère gênant, le temps de chargement de BMS est si réduit !

Campagne

Dans ce mode, le plus important de BMS (du moins en solo), on incarne le pilote d’une escadrille engagée dans un affrontement de grande ampleur. Une pression sur cet onglet ouvre la fenêtre de choix de campagne ( fig. 7). Sur la gauche de l’écran s’affichent les différentes campagnes disponibles pour le théâtre actif. Sur la droite, une carte de la zone concernée met en évidence l’état du front (les zones sous contrôle de chaque faction), la durée prévue de la campagne et les aéroports disponibles. Un clic sur chaque icône d’aéroport affiche la liste des unités qui y sont basées, les types d’appareils pour chaque escadrille et les missions privilégiées. On s’en tient pour le moment aux unités de F-16, mais il est possible d’opter pour une escadrille d’autres appareils (nous y reviendrons plus bas) y compris des avions de la DPRK ou République Démocratique Populaire de Corée - ou Corée du Nord qui ironiquement n’a pas grand-chose de démocratique. Une fois la campagne choisie et l’unité sélectionnée, on valide et on se retrouve sur un nouvel écran ( fig. 8). On y règle les types de missions auxquelles on préférera participer. Attention, les

suggestions ne sont pas forcément en accord avec les rôles des escadrilles définis dans l’écran précédent !

On bascule finalement sur l’écran de campagne proprement dit. Il est occupé par une imposante carte que l’on peut zoomer-dézoomer et sur laquelle les objets du conflit (troupes au sol, unités aériennes, usines, défenses AA…) peuvent s’afficher via un menu au clic droit. Sur la gauche, un panneau affiche les missions prévues (au fur et à mesure que le temps défile). Pour chaque mission sont indiqués le type d’action (patrouille de combat, soutient rapproché, attaque des défenses AA…), le nombre d’appareils concernés et l’heure de départ (voire l’état si la mission est en cours). Sélectionner un vol d’un clic affiche son trajet sur la carte. Le joueur peut ainsi sélectionner la mission qui lui correspond. Et si aucune n’est intéressante, il suffit souvent d’accélérer le temps (panneau Day suivi de l’heure, en haut à droite) pour que de nouvelles missions s’affichent.

Supposons qu’une mission intéresse le pilote virtuel : il sélectionne l’appareil du vol sur l’une des silhouettes d’appareils en bas à gauche ( fig. 9). Puis il vérifie l’emport (bouton Loadout) et surtout le briefing. Car une fois en vol, on n’y aura plus accès, et on risque de rater une donnée importante. Prenez des notes (il y a bien un bouton PRINT mais il ne semble pas fonctionnel). Notez les vitesses, altitudes et heures pour chaque point de passage. Et surtout, notez les canaux préréglés radios UHF et VHF. Ils sont mémorisés dans l’ordinateur du F-16, mais il faut savoir associer chaque préréglage aux différentes communications. Car une fois en vol, même avec des menus simplifiés de communication, un mauvais réglage de fréquence restera sans réponse. Et comme on a besoin de ces messages (pour décoller, parler avec ses équipiers, contacter l’AWACS ou le ravitailleur), oublier de noter les canaux peut avoir des conséquences dramatiques ( fig. 10).

Une fois les informations notées, le pilote attend d’approcher de l’heure de départ. Puis il clique sur le bouton Take Off, en bas à droite. La mission est chargée, et un nouvel écran permet de choisir si l’on part du parking en cold and dark ( Ramp), moteur lancé sur le parking ( taxiway) ou aligné pour le décollage

( runway - fig. 11). Notez que si vous sélectionnez une mission déjà en cours, vous passerez cette étape pour sauter directement dans le cockpit, mais sans possibilité de modifier l’emport.

Mission typique

Supposons que nous avons choisi une mission d’attaque dans l’écran de campagne, et qu’on se retrouve prêt à décoller. Le réalisme de BMS impose de suivre les procédures et enchaîner les communications : d’abord demander l’autorisation à la tour, décoller, confirmer le départ, puis basculer la fréquence sur celle du vol. On attend que les équipiers rejoignent la formation, puis on suit le plan de vol. On contacte l’AWACS qui surveille le ciel coréen pour confirmer la mission active. Puis on pilote le F-16 avec la maestria qui sied au petit chasseur, particulièrement maniable. Les décors extérieurs sont un peu décevants, mais on n’oublie pas que la base du logiciel a 20 ans, et même avec des améliorations apportées par BMS, on est lin des standards DCS. Mais le plaisir est ailleurs : l’IA est loin d’être idiote, et l’immersion dans le contexte d’un conflit de grande ampleur est impressionnante. Car on ne vole pas seul : le logiciel modélise toutes les opérations de toutes les escadrilles et toutes les troupes au sol - que l’on peut voir sur la carte de l’écran de mission. Le monde virtuel de BMS est vivant, on entend les communications des autres appareils à la radio, on observe de loin les explosions au sol des affrontements entre blindés, on croise les appareils des autres missions… Un ravitailleur orbite constamment pour alimenter les réservoirs des appareils à sec, des imprévus peuvent survenir. Les armements du F-16 sont diversifiés et correspondent à toutes sortes de missions, le propre du Falcon étant sa polyvalence. Et la météo ou la nuit peuvent pimenter les opérations, la guerre ne s’arrête pas parce que le soleil est couché ou parce qu’il tombe quelques gouttes… Sur ce point, Falcon BMS (comme Falcon 4 en fait) propose quelque chose qui manque vraiment à DCS World, à savoir l’impression de faire partie d’un conflit global avec toutes ses implications. Et après le retour à la base et la fin de mission (pen

sez à vérifier les fréquences ILS sur les cartes fournies dans la documentation), on suit évidemment un debriefing, et au fil du temps on peut étudier l’évolution du rapport de forces, la progression des troupes voire la fin du conflit.

Pas que le F-16 !

Si jusqu’ici nous avons principalement évoqué le chasseur de General Dynamics, c’est qu’il était la monture de Falcon 4 (dans plusieurs versions différentes) et qu’il est une alternative au Viper de DCS. Mais Falcon BMS permet également de prendre le manche de différents appareils. Presque tous d’ailleurs, nous avons même fait l’essai à bord d’un bombardier IL-28 de la Corée du Nord ! Si la plupart des avions autres que le Falcon ont des modèles 3D simplifiés et des intérieurs standardisés (ils reprennent le cockpit du F-16 par défaut), certains bénéficient de plus d’attentions. Le F/A-18C est ainsi modélisé et peut accomplir des opérations aéronavales, avec un intérieur qui lui est propre ( fig. 12). Le MiG-29 est aussi de la partie, et nous avons eu l’agréable surprise de pouvoir piloter un Mirage 2000N équipé de son missile nucléaire ASMP au ras du sol ( fig. 13). On citera également le A-10A ou le F-15C qui permettent d’augmenter la quantité de missions, mais pas toujours de manière très réaliste (les algorithmes qui gèrent les systèmes embarqués sont basés sur le F-16, leur transposition à d’autres aéronefs n’est pas toujours très heureuse).

Faisons le point : Falcon BMS 4.34 n’a certes pas la qualité graphique de DCS World, et sa prise en mains pour un débutant est très intimidante. La possession d’un matériel HOTAS est indispensable, de même qu’un minimum de maîtrise en anglais. La prise de notes avant les missions est un inconvénient qui n’existait pas dans les versions de Falcon 4/Allied Force, où les données essentielles pouvaient être accessibles depuis le cockpit sous la forme de fiches plastifiées sur les jambes du pilote. En revanche, le logiciel est d’une grande légèreté (il tourne sur une configuration modeste), d’un coût ridiculement bas (le prix d’une copie de Falcon 4) et surtout il propose une immersion sans pareil dans un contexte de conflit moderne. L’ajout de théâtres supplémentaires (parfois d’une brûlante actualité) augmente encore les possibilités. Revenir à ce logiciel après quelques années durant lesquelles DCS World avait trusté nos pages nous a fait apprécier ce module de passionnés pour passionnés. N’hésitez donc pas à lui donner sa chance, et n’hésitez pas à nous faire savoir si vous souhaitez qu’on lui accorde une place plus importante dans le magazine, avec des suggestions d’articles pratiques !
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NoxRider
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Re: Article de microsim

#2

Message par NoxRider »

:notworthy
Amen, tout est dit :Jumpy: .

Dommage que dans ce topic, c'est un peu prêcher pour sa propre paroisse d’avertis mais bon, ailleurs ça n'aurait pas été "étique".
On ne peut que noter le professionnalisme du journaliste Emmanuel Blanchard.
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EREBUS
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Re: Article de microsim

#3

Message par EREBUS »

NoxRider a écrit :
sam. mars 28, 2020 2:55 pm
:notworthy
Amen, tout est dit :Jumpy: .

Dommage que dans ce topic, c'est un peu prêcher pour sa propre paroisse d’avertis mais bon, ailleurs ça n'aurait pas été "étique".
On ne peut que noter le professionnalisme du journaliste Emmanuel Blanchard.
Sûr ! Emmanuel Blanchard est le fer de lance de cette revue: ses articles sont toujours complets et passionnants.
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eutoposWildcat
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Re: Article de microsim

#4

Message par eutoposWildcat »

Un seul petit manque: avec le Weapon Delivery Planner on peut tout à fait avoir dans le cockpit les informations essentielles, la datacard figurant sur les jambes du pilote.
Mais c'est vraiment un petit manque: non écrit par un Falconneux très averti, l'article est étonnamment objectif et factuel. Ça fait plaisir. :)
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CrazyFry
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Re: Article de microsim

#5

Message par CrazyFry »

Moi je regrette juste qu'il ne parle pas de GoG pour accéder à une copie légale de Falcon, car cette plateforme est bien plus "éthique" que steam sur ce sujet. Avec GoG on est propriétaire du jeu, ce n'est pas le cas sous steam (et il y a souvent des promos, pour tout ce qui est vieux jeu c'est vraiment une plateforme à privilégier). Mais sinon oui super article.
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EREBUS
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Re: Article de microsim

#7

Message par EREBUS »

DeeJay a écrit :
lun. mars 30, 2020 12:38 pm
Ça m'a fais acheter à nouveau Micro Sim!

J'ai encore des anciens numéros de 1999 avec des récits super de mission ... ça me faisait rêver à l’époque!
Salut deejay...je confirme!
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marge
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Re: Article de microsim

#8

Message par marge »

Je suis abonné depuis très longtemps, une pleine armoire du numéros, et je confirme : excellente revue ciblée surtout sur la simu aviation, avec des articles très intéressants dans chaque numéro. Je recommande vivement (pas d'intérêts personnels bien sûr !)

Inkblue
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Re: Article de microsim

#9

Message par Inkblue »

DeeJay a écrit :
lun. mars 30, 2020 12:38 pm
Ça m'a fais acheter à nouveau Micro Sim!

J'ai encore des anciens numéros de 1999 avec des récits super de mission ... ça me faisait rêver à l’époque!
:Jumpy: :Jumpy: serait-il possible de scanner ces pages et de les mettre sur le forum (inspiration pour de futurs TE)

SI cela est possible évidemment.

Merci :notworthy :notworthy
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